Le cul d’une jeune salope partante pour une sodomie

Je suis partante pour une sodomie

Je m’appelle Virginie Martin, et j’aimerais rencontrer quelqu’un qui saura satisfaire mes désirs les plus fous !
Je sais, c’est le genre d’annonces que vous avez vu mille fois, mais moi Virginie (ça tombe bien comme prénom vu que je suis encore vierge de mon petit trou à crottes), j’ai une exigence particulière.

Voilà pourquoi je suis partante pour une bonne sodomie …

Un jour, je suis rentré du bahut un peu plus tôt que d’hab. La porte de mon frère était entrouverte. En passant devant, j’ai  entendu des miaulements bizarres.

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En loucedé, j’ai balancé un œil et ce que j’ai vu m’a tout de suite serré la chatte : la copine de mon frangin. Mel était couchée sur son bureau, sur le dos, les genoux serrés contre ses nichons. Elle offrait mon frère sa fente ouverte qui laissait devenir les chairs mouillées de ses grosses lèvres cramoisies. Son slip pendouillait à l’une des chevilles. Mon frère était devant son trou du cul, légèrement ouvert, lui montrant une jolie corolle fripée autour du trou noir.

De sa langue, ce petit salaud lui léchait donc l’anus, remontait le périnée, sa langue plongeait dans son abricot. Puis il retournait vers sa rondelle qu’il farfouillait toujours plus profond. D’une main il branlait sa bite énorme au dessus de ses burnes chargées à bloc. Il l’enculait avec sa langue, avec ses doigts et elle miaulait comme quoi que c’était si bon, qu’elle voulait sa queue dans son cul, qu’elle en pouvait plus … et lui faisait durer le plaisir tandis qu’elle tortillait du cul en râlant.

Et moi je regardais, la main dans la culotte, frottant frénétiquement mon bouton qui grossissait à vu d’œil.

Quand il s’aperçut alors de ma présence, il me fit signe de venir. Aussi je m’approchais les entrailles tenaillées par le trac. Mais bon quand le cul doit s’exprimer, y a rien à faire.
Je m’approchais donc de Mel pour lui manger la bouche, lui téter ses petits nichons fermes et durs. Elle continuait alors à beugler qu’elle voulait être enculée et la garce mentait pas. Sa chatte suintait de sa mouille qui glissait vers son anus.

Je fis un petit signe à mon frère : j’attrapais sa grosse queue et tout en le branlant, je le décalottais, sa grosse olive rouge en avant, j’amenais sa bite à l’entrée de la pastille de Mel pour la sodomie . Subjuguée je vis donc sa verge disparaitre dans les entrailles de cette petite garce qui commençait à tourner de l’œil. Une sodomie démoniaque en fait !!

La sodo c’est un art que peu d’hommes maîtrisent

Mon frangin donna un dizaine de grand coups de rein, le cul de Mel venait frapper ses aisselles. Il stoppa net pour décharger son foutre à l’intérieur de Mel qui ahanait comme un cheval furieux.

J’attrapais la bite et les couilles qui commençaient à ramollir, les tirais pour voir son tuyau sortir, gluant, chaud et doux, le soupesant. Je le trouvais lourd mais la vue de l’anus béant de Mel duquel coulait un filet de sperme m’excita au point que moi aussi je partis …

Depuis, je me demande toujours ce qu’on peut ressentir quand un homme vous lèche le trou du cul et vous encule … et c’est ça que je voudrais découvrir avec mon prochain plan cul !!!

Je me suis créé un profil sur un réseau de rencontre hyper sympa. J’aimerais donc que tu ajoutes mon profil a tes favoris. Ainsi je vais voir si tu es apte à me sodomiser